La dernière de 2025... L'attaque comme le mdb est sur la pomme cuite avec des traces de cerise à l'eau-de-vie. Le final est sur le côté liquoreux du calvados. Cette b.w. est bien sympathique et gourmand, tout est là. Petite sensation sucrée sur l'ensemble.

De bonnes saveurs caramélisées et de cannelle. Manque un peu de caractère

Une bombe de saveurs cette Triple NEIPA DDH ! On a des très belles notes de fruits exotiques, une pointe citronnée, c'est dense, juteux, très puissant (mais l'alcool ne ressort pas), on a une très belle longueur en bouche, Fauve a encore frappé fort.

Une belle robe jaune hazy, un nez fruité, en bouche c'est une explosion de saveurs. On retrouve des magnifiques notes de fruits exotiques, d'agrumes, c'est rond, juteux, puissant, l'amertume issue de houblons néo-zélandais est très parfumée, on a une belle longueur en bouche, bravo Fauve.

Une robe jaune opaque et mousse blanche. La bière la plus intense de la série Dolcita de Fauve. Ce nouveau houblon au profil doux et fruité (fruits exotiques, melon, pêche) est complété avec deux houblons néo-zélandais bien connus. Fraicheur, amertume toute légère et notes particulièrement fruitées ! 🍺

Oui, elle brille …j’ai la petite étincelle dans mes yeux quand je savoure cette bière…certes les degrés d’alcool y participent (12 degrés 😜) mais pas que… Elle est visqueuse, onctueuse, sucrée, alcoolisée …rien de bien glorifiant décrit ainsi…🤔. Mais encore une prouesse de Fauve…c’est délicat, chacune de saveurs (café, cacao, coco, vanille et chocolat) sont bien présentes (Wahou) …sûrement trop sucrée mais c’est son ADN 😉 (alcool et saveurs) Bravo

Paahteista kahvia mukana myös, toffeeta, karamellisuutta ja vaniljaa. Roasted coffee with fudge, caramel and vanilla

Comme un Imperial Stout de chez Fauve, Hérault, 34. Un breuvage de circonstance. Aspect sombre avec peu de carbonatation. Texture liquoreuse, grasse voire sirupeuse. Arômes prononcés avec un savant mélange de coco, chocolat, café, vanille, sans négliger le grillé des malts. Un IS ultra généreux qui se savoure tranquillement. Ah oui, les 12°, ça tape quand même... Encore une fois, mille bravos à Fauve qui n'hésite pas à donner dans le luxe.